Après la France qui tombe, conséquence logique : la France fracturée. A lire dans les Echos de ce mardi cette intéressante analyse de Nicolas Baverez. Il y dénonce la démagogie et la déconnexion des dirigeants français avec les réalités géopolitiques et économiques du XXIe siècle, dirigeants qui ont rivalisé dans la dénonciation du libéralisme, du capitalisme, de la mondialisation. Il y fustige encore l'indécision, la pusillanimité et la veulerie du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Quant à Chirac, il s'est constamment défaussé de la mission prioritaire de moderniser le pays pour se complaire dans des mandats de confort, tout entiers guidés par sa survie personnelle au détriment de l'intérêt supérieur de la nation. République soviétique bananière, dites-vous ?
A écouter, pour sortir un peu du pessimisme baverezien, Cécile Philippe de l'Institut Economique Molinari qui cause dans la radio (fichier MP3 de 8 Mo), elle est ultralibérale, fière de l'être, et elle a bien raison !
25.5.05
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